Déjà, sous Louis-Napoléon, on écrivait au Président. Les missives passaient par le maire ou le préfet. Aujourd’hui, l’Élysée reçoit 1.000 lettres par jour. Ses agents tentent d’orienter les requêtes vers l’administration compétente. Parfois, mais rarement, jusqu’au chef de l’État lui-même.
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